Médiation d’otages

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Médiation
d’otages

Le père Mateusz Dziedzic, prêtre polonais, vivait en République centrafricaine depuis 2009. Il y exerçait des responsabilités pastorales et dirigeait des écoles maternelles. Le 12 octobre 2014, il a été enlevé avec 25 autres otages, près de la frontière camerounaise, par des membres du Front démocratique du peuple centrafricain (FDCP). À cette période, les rebelles s’emparaient régulièrement de ressortissants centrafricains et camerounais.

Rôle de la Fondation

En octobre 2014, la Fondation Brazzaville, accompagnée du président de la République du Congo et des autorités françaises, polonaises et européennes, a pris part à des négociations avec le groupe rebelle centrafricain. Pour rappel, le chef du Front démocratique du peuple centrafricain (FDPC), le général Abdoulaye Miskine, avait été arrêté au Cameroun en septembre 2013, soupçonné d’avoir l’intention d’utiliser le pays comme base pour attaquer la République centrafricaine. De sa cellule de prison au Cameroun, à la suite de négociations complexes, il s’est engagé à libérer les otages sans conditions préalables. Après 44 jours de captivité, l’État et les acteurs informels ont obtenu la libération du prêtre et des 25 otages.

Légende : Le père Mateusz Dziedzic, prêtre polonais, en République centrafricaine.

Rôle de la Fondation

Légende : Le père Mateusz Dziedzic, prêtre polonais, en République centrafricaine.

Karim Meckassoua

Ancien ministre des Affaires étrangères
de la République centrafricaine,
Ami de la Fondation Brazzaville

Il y avait un risque important, qu’en l’absence d’une solution négociée, le prêtre polonais et ses 25 compagnons d’infortune, 10 citoyens centrafricains et 15 Camerounais, soient remis aux mains de djihadistes nigérians et du groupe terroriste Boko Haram. La démarche concertée avec la Fondation Brazzaville, le président de la République du Congo, les autorités polonaises, françaises et européennes, montre que le chemin vers la réconciliation et la paix est possible en République centrafricaine.

Karim Meckassoua

Ancien ministre des Affaires étrangères de la République centrafricaine, Ami de la Fondation Brazzaville

Il y avait un risque important, qu’en l’absence d’une solution négociée, le prêtre polonais et ses 25 compagnons d’infortune, 10 citoyens centrafricains et 15 Camerounais, soient remis aux mains de djihadistes nigérians et du groupe terroriste Boko Haram.
La démarche concertée avec la Fondation Brazzaville, le président de la République du Congo, les autorités polonaises, françaises et européennes, montre que le chemin vers la réconciliation et la paix est possible en République centrafricaine.

Karim Meckassoua

Ancien ministre des Affaires étrangères de la République centrafricaine, Ami de la Fondation Brazzaville

Il y avait un risque important, qu’en l’absence d’une solution négociée, le prêtre polonais et ses 25 compagnons d’infortune, 10 citoyens centrafricains et 15 Camerounais, soient remis aux mains de djihadistes nigérians et du groupe terroriste Boko Haram.
La démarche concertée avec la Fondation Brazzaville, le président de la République du Congo, les autorités polonaises, françaises et européennes, montre que le chemin vers la réconciliation et la paix est possible en République centrafricaine.